Photo: Elaine Thompson (AP)
Cette année s’avère déjà difficile pour Bing de Microsoft. Il apparaît dès mercredi que le moteur de recherche n’est plus accessible en Chine, même en dépit de l’engagement de la société à la censure de ses résultats de recherche.
Le Financial Times a rapporté mercredi qu’il a parlé avec les deux sources qui a dit que Bing a été prescrite sur une directive du gouvernement Chinois. Alors qu’il est difficile de savoir ce qui a incité l’apparente interdiction de l’etat Chinois des télécommunications China Unicom a peut-être dit à la hache de Bing le moteur de recherche sur la censure des motifs, le Financial Times a dit.
Un porte-parole de Microsoft a dit Gizmodo dans une déclaration par courriel qu’il a “confirmé que Bing est actuellement inaccessible en Chine et [est] engagé afin de déterminer les prochaines étapes.”
La plupart des sources à partir de laquelle beaucoup d’entre nous obtenir régulièrement nos news sont déjà bloqués en Chine, y compris les médias sociaux, les titans comme Facebook et Twitter. Le Financial Times a noté que Microsoft a été l’un des derniers étrangères des outils de recherche de toujours maintenir une présence dans le pays avant mercredi. Google a son moteur de recherche à partir de le marché en 2010—mais si, il restera de cette façon est actuellement un bouton chaud de problème.
Comme le Point noté, Bing apparente de la mise en liste noire soulève des questions quant à l’avenir de Google Projet Dragonfly. Le polarisant, précédemment hush-hush projet pour un censurée de recherche Chinois produit a suscité l’indignation de militants ainsi que les employés de Google, plus de 700 qui ont signé une lettre ouverte en novembre, sur le leadership de la société à la fin de tout projet de développement du projet.
“Le gouvernement Chinois n’est certainement pas le seul dans sa volonté de museler la liberté d’expression, et à utiliser la surveillance pour réprimer la dissidence,” la lettre lue. “Libellule en Chine serait de créer un précédent dangereux à un moment politique instable, celui qui rendrait plus difficile pour Google de refuser à d’autres pays similaires concessions.”
Le PDG de Google, Sundar Pichai—qui a défendu même censuré moteur de recherche de Google en Chine comme une meilleure option que de ne pas en avoir du tout,—a déclaré lors d’une audience du Comité Judiciaire de la Chambre le mois dernier que la société n’avait pas les plans de lancement d’un tel produit “right now”. Mais son pointu non-réponse insinué qu’il n’était pas complètement à côté de la table.
Hormis apparemment en train d’être interdit en Chine, il n’a pas été particulièrement bon mois pour Bing. Quelques semaines auparavant, la société fait face à des retombées à partir d’un rapport de TechCrunch qui a trouvé son moteur de recherche a été surfaçage de la pornographie enfantine dans ses résultats.
[Le Point, Financial Times]
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