Nouvelle-Zélande la Recherche d’un Soutien Mondial pour Gage pour Contrer les Extrémistes de Contenu en Ligne

New Zealand’s Prime Minister Jacinda Ardern on March 15, 2019. La nouvelle-Zélande, le Premier Ministre Jacinda Ardern le 15 Mars 2019.Photo: Vincent Thian (AP)

La nouvelle-Zélande, le Premier Ministre Jacinda Ardern est en train de préparer un élan mondial appelé le “Christchurch Appel” pour contraindre les grandes plates-formes internet pour ne plus à propos extrémistes contenu dans le sillage d’un massacre de 51 Musulmans à la mosquée dans le pays en Mars, le New York Times a rapporté dimanche.

Au cours de ce massacre, un homme armé a diffusé en direct des dizaines de meurtres sur Facebook alors qu’à plusieurs reprises en faisant des références à des blagues sur l’extrême droite à la frange de l’internet et le métrage est allé virale, avec des plates-formes de la difficulté à éliminer à la fois du téléchargement de la vidéo d’origine et les versions modifiées qui a esquivé les filtres automatisés. Facebook face à une vive indignation en Nouvelle-Zélande et d’ailleurs, plus tard, disant qu’il serait de modifier le livestreaming fonction pour inclure de nouvelles restrictions.

Ardern se réunira en France avec le Président Emmanuel Macron de cette semaine pour discuter d’un accord à ce que les fonctionnaires impliqués dans le processus de rédaction a dit posera la question: “les médias sociaux géants examiner le logiciel qui dirige les gens à contenu violent, et de partager plus de données avec les autorités gouvernementales et les uns des autres pour aider à éradiquer toxiques produits en ligne,” le Times écrit. L’accord est prévue pour la signature de durant, le Groupe des 7 nations de la réunion du numérique, des ministres de cette semaine, à Paris.

De nombreux pays (notamment l’exclusion des états-UNIS et en Australie) sont invités à signer, Facebook et Microsoft, le papier a ajouté:

Des représentants de Facebook, Google, Microsoft et Twitter sont parmi ceux qui devaient assister au sommet sur le mercredi animée par M. Macron et Mme Ardern. Facebook et Microsoft a dit qu’ils allaient signer l’engagement. Google et Twitter a refusé de commenter sur leur position.

Un certain nombre de pays sont attendus à signer l’engagement non contraignant, notamment en grande-Bretagne, le Canada, la Jordanie, le Sénégal, l’Indonésie, de la Norvège et de l’Irlande, selon des responsables impliqués dans la rédaction de l’accord. Les États-unis, qui a été réticent à réglementer l’internet de soucis, il va nuire à la liberté de parole, n’est pas parmi les signataires. Ni l’Australie.

Comme la plupart des pays concernés ont largement différentes lois sur des sujets comme les discours de haine, le gage ne contient aucune application de la loi ou de mesures réglementaires et est essentiellement volontaire, laissant les médias sociaux des entreprises à déterminer ce qui constitue de la violence “extrémistes de contenu.” La promesse n’a qu’à demander à ces entreprises de s’engager à “solide” à la mise en application des conditions de service, la réduction des dangers possibles de livestreaming, et de rediriger les utilisateurs de contenu signalé, ainsi que la demande pour ces entreprises de faire preuve de transparence sur leurs processus pour l’identification de ces contenus.

Alors que les entreprises de technologie de l’incapacité à s’auto-réguler était essentiellement l’un des facteurs qui a permis la prolifération des discours de haine sur les principales plates-formes, en premier lieu, les fonctionnaires participant à la mesure caractérisée comme une opportunité pour les entreprises à l’étape avant plus fort de l’adoption des lois, selon le Times. Les rapports précédents ont caractérisé la réaction du secteur en tant que réceptif, mais il est finalement difficile de savoir si il y aura beaucoup d’appétit pour un changement en profondeur.

Les gouvernements seront aussi invités à passer des lois plus sévères contre la violence extrémiste de contenu, ainsi que de mettre en œuvre des lignes directrices pour la déclaration sur le terrorisme, le Times écrit:

En vertu de l’accord, les gouvernements doivent s’engager à adopter et appliquer des lois qui interdisent le contenu répréhensible—comme la Nouvelle-Zélande a, dans le sillage des attaques en faisant de la possession ou de partage du tireur vidéo d’un crime—et de définir les lignes directrices sur la façon dont les médias traditionnels pouvez signaler le terrorisme sans l’amplifier.

Plusieurs de ces sections ont soulevé les sourcils à la Maison Blanche sur des raisons d’ordre constitutionnel. Selon le New Zealand Herald, Donald Trump ne sera pas la fréquentation et qu’il est “difficile de savoir si il y aura un délégué des etats-unis.”

Facebook Mark Zuckerberg est pas prévue pour être présents, au lieu de l’envoi de l’ancien vice-premier ministre du royaume-UNI et Facebook vice-président de la politique mondiale et de la communication, Nick Clegg, à sa place, selon le journal.

“L’Engagement dans un tel court laps de temps, est une grande question,” Ardern dit le Messager. “Nous sommes vraiment heureux avec la participation… Nous allons continuer à chercher de l’aide auprès des autres. C’est un début. Nous continuerons ensuite de l’engagement et de chercher d’autres signataires de l’appel”.

[New York Times]

 

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