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Plus tôt cette semaine, des informations ont fait que Google a été en interne le développement d’une censurés moteur de recherche qui permettrait de ramener l’entreprise à l’intérieur des confins de la Chine du Grand Pare-feu. La société a refusé de répondre à des questions sur le projet, mais il peut avoir à l’ouvrir. Vendredi, un groupe de législateurs exigé pour en savoir plus sur ce qu’ils ont qualifiée de “très inquiétante” de développement.
L’ordonnée à l’origine de la première rapporté l’existence de la censure-friendly moteur de recherche—nom de code Libellule—mercredi. La prise examiné les documents internes qui ont montré que le moteur de recherche a été en développement depuis plus d’un an et a déjà été démontré pour les fonctionnaires du gouvernement Chinois.
Google a surtout été absent du marché en Chine continentale depuis qu’il a volontairement retiré du pays en 2010 suite à un hack sur son système et ses désaccords avec le gouvernement sur sa censure et la surveillance de ses citoyens. Mais beaucoup de choses peuvent changer en huit ans. La chine a seulement devenir plus riche et plus autoritaires, et hey, Google peut-être plus à l’aise avec. C’est en ce qui concerne les législateurs Américains.
Dans une lettre envoyée le PDG de Google, Sundar Pichai par, le Sénateur Marco Rubio et signée par cinq autres législateurs, de la société de l’éthique fondamentale sont remis en question. Après l’éloge de la décision de Google de retirer son service de recherche de la Chine, de la lettre qui caractérise un compromis nouveau moteur de recherche comme “un coup d’état pour le gouvernement Chinois” qui créerait un “précédent inquiétant pour les autres entreprises qui cherchent à faire des affaires en Chine.” Il met aussi l’accent sur les problèmes de sécurité sur la société Américaine, l’imbrication de ses activités avec des entreprises Chinoises qui sont inextricablement lié au gouvernement Chinois.
La lettre pose alors plusieurs questions sur le projet, commençant par: “Google Est le développement d’un moteur de recherche, ou d’autres censuré application pour la Chine?” C’est une bonne question parce que Google ne va pas dire d’une façon ou d’une autre. Lorsqu’il est contacté par Gizmodo plus tôt cette semaine, la société a répondu:
Nous fournir un certain nombre d’applications mobiles en Chine, tels que Google Translate et des dossiers, l’aide Chinoise aux développeurs, et ont fait d’importants investissements dans les entreprises Chinoises, comme JD.com. Mais nous n’avons pas de commentaire sur la spéculation sur les plans futurs.
La lettre demande également ce qui a changé au cours des huit dernières années pour faire de l’entreprise apparemment plus à l’aise avec coopérant avec la censure systématique et si elle aura la force de ses salariés de suivre une formation obligatoire sur les “Marxistes nouvelles valeurs”, comme il est requis par le gouvernement Chinois. Plus sérieusement, il lui demande si Google se conformer aux demandes de remettre des renseignements personnels sur les citoyens Chinois si il est demandé de le faire.
Quand Google a d’abord tiré loin de la Chine en 2010, il a cité une violation de comptes Gmail qui a ciblé les dissidents Chinois comme l’une des principales raisons pour lesquelles il ne se sentait plus à l’aise à censurer les résultats de recherche. Le sénateur de la lettre conclut en disant: “nous vous remercions de votre prompte réponse à cette enquête, y compris tout point de vue que vous êtes prêt à partager de façon à ce que cette évolution peut être réconcilié avec Google devise officieuse de la, ” Ne pas être mal.’”
Nous avons à Google pour lui demander si elle volontairement de répondre à la du sénateur questions sans la nécessité d’une citation à comparaître, mais n’a pas reçu une réponse immédiate.
On peut obtenir plus de réponses au sujet de la présumée projet en tant que rapports de pile-up interne à l’indignation face à Google est en pleine croissance. Au moins huit principaux points de vente disent qu’ils ont confirmé indépendamment avec des sources à l’intérieur de l’entreprise que le projet est en cours.
La situation rappelle celle de Google Projet Maven qui a causé un employé de la révolte à l’entreprise plus tôt cette année et a abouti à quelques démissions. Google a finalement renoncé à ses plans pour aider à la du Pentagone de développement d’IA, en disant qu’il ne serait pas aider dans le développement de l’IA assistée de surveillance ou des armes—deux choses qui semblent décidément mal.
Malheureusement, il semble que Google est de plus en plus disposés à tester les eaux, sur des projets qui sont éthiquement douteux, et le fait qu’il a jusqu’à présent refusé d’en parler donne tout le confort.
[Bureau du Sénateur Marco Rubio, Bloomberg]