Un Américain de l’Aide humanitaire, Est en train d’Être Surveillés pour des Signes de la fièvre Ebola dans un Hôpital du Nebraska

Le virus Ebola virusImage: CDC (AP)

Un Américain travailleur de la santé en Afrique ont peut-être eu trop près d’un pinceau avec le mortel virus Ebola qui est actuellement dévastatrice de la République Démocratique du Congo. Il est retourné aux états-UNIS et est maintenant dans un hôpital du Nebraska, où les médecins sont de garder un œil sur lui.

Le samedi, l’Université du Nebraska Medical Center a annoncé qu’il serait suivi d’un Américain qui a été exposé au virus, tout en fournissant de l’assistance médicale à la RDC. L’homme a depuis été transporté vers le centre en Omaha et est en train d’être soigneusement surveillés pour tous les nouveaux symptômes. Jusqu’à présent, NPR rapports, il ne semble pas être en danger.

“Cette personne peut avoir été exposé au virus, mais n’est pas malade et n’est pas contagieuse,” Ted Cieslak, spécialiste en maladies infectieuses avec le Nebraska Médecine et professeur agrégé d’épidémiologie à l’Université du Nebraska Medical Center College de la Santé Publique, a déclaré dans un communiqué. “Devrait tout de symptômes, le Nebraska Médecine/UNMC équipe est parmi les plus qualifiés dans le monde pour traiter avec eux.”

Ebola n’est pas contagieux jusqu’à ce que après l’apparition des symptômes, ce qui peut d’abord comprennent une forte fièvre et des douleurs musculaires et, plus tard, des saignements abondants et des vomissements. Les symptômes peuvent durer de deux jours à plusieurs semaines, et l’homme sera suivi pendant jusqu’à deux semaines. Pour l’instant, l’homme n’est techniquement pas un patient, mais si il est malade, il va être transféré vers le centre de l’Unité de Bioconfinement. À ce point, UNMC a dit, il va commencer à fournir régulièrement des mises à jour sur son état de santé.

Ce ne serait pas la première rencontre UNMC a eu avec le virus Ebola. Pendant la plus répandue épidémie d’Ebola, à ce jour, qui écoeuré près de 30 000 personnes et en a tué plus de 11 000 entre 2014 et 2016, les médecins du centre de traités et surveillés par plusieurs personnes qui ont contracté ou ont été exposés à la maladie. Et l’état est l’un des rares à avoir dédié le confinement de l’unité.

Il devrait aller sans dire que l’homme n’est pas considérée comme un risque pour quelqu’un d’autre de la santé aux états-UNIS, si ce n’est pour le fait que beaucoup de gens et même des représentants du gouvernement collectivement, paniquée, la dernière fois que le virus fait aux États.

L’épidémie actuelle en RDC n’est pas aussi loin que le 2014 épidémie, qui touche surtout l’Afrique de l’Ouest, mais il est déjà devenu la deuxième plus grande épidémie de l’histoire connue du virus. Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, au moins 591 personnes sont soupçonné ou confirmé venez vers le bas avec le virus Ebola, tout au moins 357 morts. Et en dépit de la plus grande disponibilité d’un vaccin expérimental et les médicaments expérimentaux au cours de cette épidémie, en dehors de facteurs ont contribué à sa propagation.

Une grande partie de la RDC est en proie à la violence, avec la constante de conflit entre les rebelles et le gouvernement. Que du fait qu’il est difficile pour les travailleurs de la santé pour suivre potentiel de chaînes de transmission, de vacciner les personnes à risque, et à la disposition des patients dans le temps pour les traiter (plus récemment, un conflit entre les manifestants et les troupes du gouvernement ont conduit à des patients et du personnel fuyant un gouvernement de centre de santé dans le territoire de Beni). Les états-UNIS ont, pour beaucoup de critiques de spécialistes de la santé publique, tiré vers l’arrière de son gouvernement personnel médical de la RDC, citant les risques de sécurité au sein de la violence.

Alors que l’Organisation Mondiale de la Santé rapports il y a des signes que la dernière vague de cas a commencé à mourir dans certaines zones, il y a aussi toujours la possibilité de l’épidémie peut se propager ailleurs, au-delà même des frontières de la RDC.

[UNMC via NPR]

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