SoftBank, Qui A Signé 45 Milliards De Dollars Saoudite Tech Accord D’Investissement, Encore De “Surveillance” Jamal Khashoggi Scandale

PDG de SoftBank Masayoshi Fils.Photo: Shizuo Kambayashi (AP)

Le 2 octobre, arabie Saoudite, citoyen, résident des états-UNIS, et le journaliste auto-exilé Jamal Khashoggi entré dans le consulat Saoudien à Istanbul, aurait méfier des conséquences potentielles d’entrer dans un établissement contrôlé par un régime dictatorial, il a fréquemment critiqué. Il est maintenant présumé mort dans les mains d’Saoudite personnel, qui fonctionnaires turcs s’exprimant sous le couvert de l’anonymat, ont affirmé, ont été enregistrés à torturer et assassiner à l’intérieur de l’ambassade.

En conséquence, les dirigeants de nombreuses entreprises, y compris Google, JPMorgan Chase, Uber, Groupe Virgin, et d’autres ont publiquement pris ses distances eux-mêmes à partir de l’Arabie Saoudite et sa brutale décision de la monarchie, dont l’héritier du trône, le Prince héritier Mohammed bin Salman a été d’essayer d’attirer les investissements étrangers dans le cadre d’un moonshot, P. R.-friendly plan pour transformer le pays en un régional de la technologie et de la logistique du géant. Mais, comme le New York Times a rapporté, mercredi, Japonais géant technologique du Groupe SoftBank—qui a reçu 45 milliards de dollars d’engagement pour sa tech Vision centrée sur le Fonds de l’arabie Saoudite fonds souverains—et son PDG, Masayoshi Fils semblent être en attente pour voir juste la quantité de sang dans l’eau.

Selon le Times, le Fils n’a pas encore pris une décision définitive sur qu’il sera le miroir d’autres cadres de l’abandon de la semaine prochaine, l’Avenir de l’Initiative d’Investissement dans Riyadh, tandis que le chef de l’exploitation de Marcelo Claure, a déclaré mardi la société a été “suivi” de la situation:

“À ce point dans le temps, nous, comme la plupart des entreprises qui ont une relation avec l’Arabie Saoudite, sont en train de regarder l’évolution et de voir où cela va,” M. Claure dit un groupe de journalistes à une industrie de haute technologie à San José, en Californie. “Il y a des nouveautés presque chaque heure de ces jours.”

M. Fils a signalé à ses associés d’affaires, que les SoftBank Vision Fonds avait une responsabilité à l’arabie Saoudite de citoyens, qui avait confié son entreprise avec 45 milliards de dollars de leur royaume, fonds souverains, selon SoftBank fonctionnaires qui ont parlé sous condition d’anonymat parce qu’ils n’ont pas été autorisé à s’exprimer publiquement. Dans le même temps, ces fonctionnaires ont dit, il a transmis aux cadres dirigeants des entreprises dans la Vision du portefeuille du Fonds qu’ils ne devraient pas se sentir obligés de suivre sa voie, et l’on doit faire ce qui se sent le droit pour eux.

Selon le Times, la Vision Fonds fonctionne en recevant des transferts périodiques des partenaires après les accords sont signés par les participants; de son $92 milliards de dollars en immobilisations, seulement $27 milliards de dollars ont été dépensés, dont 12 milliards de dollars en arabie Saoudite de l’argent. Le fonds a très bien performé, et avant le scandale, il était question de départ d’une seconde. TechCrunch ont cité des rapports que Claure aussi dit qu’il y avait “aucune certitude” d’un autre fonds, tandis que le Times a rapporté que une source impliquée dans les processus de décision à SoftBank, a déclaré que ses dirigeants ont chaud à ne plus accepter Saoudite, de l’argent à l’avenir dans le privé.

Qui laisse l’avenir de SoftBank relations avec les Saoudiens, qui est une énorme tranche de 11 milliards de dollars que le Wall Street Journal a récemment rapporté bin Salman a investi dans les états-UNIS startups depuis la mi-2016, incertaine. Le Times a noté, la pression sur les Fils ne vient pas simplement ceux qui s’inquiètent de ce dernier de disparition: Il a juré de Donald Trump, dont l’administration a doublé vers le bas dans sa défense de la les Saoudiens et leurs précieux des ventes d’armes avec les états-UNIS, à la “Vision de l’utilisation de Fonds de capital à investir 50 milliards de dollars aux États-unis et de créer 50 000 emplois nouveaux” peu de temps avant que Trump a prêté serment. (Plus tard, des rapports ont indiqué que la Vision d’argent du Fonds est désigné pour aller dans les plus grandes entreprises au lieu de les startups.)

Vu que maintenant il semble impossible que ce dernier de disparition n’était pas en fait un orchestré le meurtre ordonné par de hauts responsables Saoudiens, il ne semble pas comme il y a beaucoup à attendre et à comprendre. Non pas que ce n’est pas facile de prévoir et d’éviter en premier lieu: le prince de La couronne a été montrer sa autocratique streak depuis assumer sa place dans la ligne pour le trône, de diriger une guerre brutale, au Yémen; la prise de pouvoir balayage attrape des forces de sécurité, les médias, les politiques et les institutions; et de verrouillage des centaines de, réels ou imaginaires, ses rivaux, sans procédure régulière.

SoftBank n’est pas la seule société reste visiblement muet sur la question: PDG d’Amazon Jeff Bezos, qui serait de travailler sur des plans pour ouvrir des Amazon Web Services de centres de données en Arabie Saoudite, est resté publiquement maman sur la question, en dépit de posséder le Washington Post—où ce dernier était un chroniqueur.

Gizmodo a atteint à SoftBank pour le commentaire, et nous mettrons à jour cette histoire si nous entendre en arrière.

[New York Times, TechCrunch]

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