Le Dernier Crack De Lutte Contre Le Terrorisme De L’Équipe Vient De…Facebook?

The Latest Crack Counter-Terror Team Comes From...Facebook?

La Guerre contre le terrorisme™ se poursuit, avec des organismes dédiés à la chasse toutes les menaces à la fois nationaux et étrangers. Le Wall Street Journal a un nouveau look à l’intérieur d’un improbable groupe: Facebook.

Le réseau social est venu sous le feu avant pour ne pas avoir à censurer les terroristes de matériel ou de discours de haine sur son réseau, en particulier dans le sillage de la San Bernadino tirs. Les suspects ont été diversement accusé de promouvoir ISIS sur le réseau, ce qui renforce encore longue date de soucis au sujet de la façon dont ISIS utilise Facebook pour recruter des membres.

En réponse aux préoccupations du public et des rumeurs d’intervention de l’état, les réseaux sociaux ont été beaucoup plus publique contre le terrorisme. Twitter a récemment claironné qu’il a arrêté de 125 000 terroristes liés à des comptes depuis Mai dernier.

Maintenant, Facebook a permis le Wall Street Journal l’accès à ses beaucoup plus extrémiste anti-terrorisme de la procédure. (Rappelez-vous: c’est un pays qui est utilisé pour lutter contre l’extrémisme et la “attentats”.)

Facebook de position n’a pas changé sur un beaucoup plus fondamental: il n’y a pas de nouvelles “Rapport d’ISIS” bouton sur des poteaux; plutôt, c’est un changement dans le réseau de l’équilibre entre la liberté de parole et d’endiguer l’extrémisme. Dit Monika Bickert, Facebook est à la tête de la politique globale de gestion: “Si c’est le chef de Boko Haram, et il veut poster des photos de ses deux ans et quelques chatons, qui ne serait pas autorisé.”

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Selon le Journal du rapport, Facebook est maintenant beaucoup plus proactif:

Le réseau social affirme qu’il utilise des profils qu’il juge soutien du terrorisme en tant que point de départ pour identifier et éventuellement supprimer les comptes associés qui peuvent également afficher des informations qui soutient le terrorisme.

Les balayages sont effectués par une “équipe multilingue”, basé sur des pages aimé ou événements ont assisté, outre les choses directement postés par les utilisateurs.

C’est une approche beaucoup plus proactive que Facebook a jamais eu avant, mais il met aussi Facebook dangereusement sur le territoire de la censure de ses utilisateurs. La rhétorique a changé; Facebook n’est pas en prétendant être le même défenseur de la liberté d’expression et la vie privée c’est après les fuites de Snowden, mais est plutôt volontairement la censure de ses utilisateurs. Quand votre seule responsabilité vient de profil morceaux de choisi de journalistes, c’est peut-être pas une telle chose merveilleuse.

[Wall Street Journal]

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